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Design et architecture

Art visuel

PAVILLON MOHITORI – Noël Picaper

PAVILLON MOHITORI – Noël Picaper

Maquette du Pavillon MOHITORI © Noël Picaper / Onomiau

Dates

Du mardi 1er juillet au mardi 30 septembre 2025

Tarif

Gratuit, entrée libre

Architecte lauréat 2024 de la Villa Kujoyama, Noël Picaper a exploré durant sa résidence la relation entre l’architecture et le feu au Japon, notamment à travers la technique traditionnelle du bois brûlé (yakisugi).

 

À partir de ses recherches et dans le cadre du partenariat entre la Villa Kujoyama et YAU – Yurakucho Art Urbanism, Picaper a conçu le Pavillon MOHITORI. Ce dispositif de micro-architecture nomade cherche à créer un dialogue autour du cycle de l’eau et d’éléments architecturaux habituellement discrets tels que les gouttières, les marches ou les toits.

 

Au printemps dernier, MOHITORI a été exposé une première fois à l’Hotoria Square, dans le quartier d’Ōtemachi à Tokyo, à l’occasion de la Nuit de la Philo 2025 ― Agir pour le vivant. Il arrive à présent à l’IFT où il sera installé dans le jardin durant tout l’été : ne manquez pas l’occasion de (re)découvrir ce Pavillon aux multiples facettes dans un cadre verdoyant !

 


Conception : Noël Picaper/Onomiau
Organisation : Villa Kujoyama, Institut français du Japon, Fondation Bettencourt Schueller Yurakucho Art Urbanism (YAU), Université des Arts de Tokyo
Coordination locale : Bureau d’architecture Masato Ashida
Production : Matsumoto Furniture Manufacturing Co.
Partenaire : Mitsubishi Estate

Ce projet a bénéficié du programme post-résidence de la Villa Kujoyama, avec le soutien de l’Institut français, l’Institut français du Japon et la Fondation Bettencourt Schueller.

Architecte

Noël PICAPER

Lauréat 2024 de la Villa Kujoyama en architecture, il est diplômé de l’ENSA Strasbourg, il fonde Onomiau en 2019 et travaille sur des formats variés des pavillons publics à la fiction. Sensible aux rituels et aux mystères des lieux, il crée des architectures tentant de résister aux catégories, jouant sur des ambiguïtés (édifice/paysage, vivant/mort, mobilier/sculpture, naturel/artificiel…). Ses structures étranges se racontent pourtant à partir de formes ordinaires et de géométries simples, contant les qualités invisibles des paysages qu’elles arpentent.

© Onomiau

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